Des casse-croûtes immangeables à cause d’une contamination par des microorganismes sont mises en vente sur le marché.

Après une visite inopinée des responsables de la qualité des produits, une note de service est sortie en guise d’alerte.

Il se peut que les consommateurs aient déjà les produits dans leur frigo qu’ils doivent prendre des précautions pour ne pas en ingérer.

Les casse-croûtes immangeables à cause d’une contamination par des microorganismes

Que ce soit chez Systèmes U, Super U et Leclerc, ce sont les mêmes fournisseurs qui leur livrent les casse-croutes.

Les consommateurs doivent être prudents pour éviter les risques d’intoxication alimentaire.

Il s’agit en question des produits ayant une date de péremption prévue le 10/04/2023 et avec un code-barres 3564706642041.

Depuis le mois de mars dernier, ils sont en offre promotionnelle auprès de tous les magasins concernés.

Les produits ayant une date de péremption prévue le 07/04/2023 avec le code-barres 3256224756866 sont aussi concernés.

On souligne particulièrement les casse-croutes avec les codes-barres 3564706577350 et 3564706577350.

Éviter de les acheter et prendre le temps de lire les informations sur les paquets avant d’en prendre.

Ce qu’il faut faire pour ceux qui ont déjà les produits

Les contrôleurs qualités ont interdit la vente de ces produits jusqu’à nouvel ordre.

Tous les magasins doivent alors opter pour une stratégie afin que les clients retournent les produits achetés.

Des récompenses seront offertes à toutes les personnes qui retournent les produits auprès des magasins. 

Minimiser les risques d’intoxication alimentaire est le principal but de ce système.

De ce fait, si jamais les produits relatifs à ces codes-barres se trouvent chez vous, pensez à les retourner le plus rapidement.

Cependant, une date butoir s’impose avant de lancer les destructions massives des produits.

Ce sera le 19 avril pour le magasin Leclerc et le 15 avril pour Super U.

Certes le fait de rappeler les produits sont gonflants au final.

Toutefois, il faut se mettre en tête que c’est pour le bien de soi et d’autrui.

Le fameux dicton n’arrête pas de dire qu’il vaut mieux prévenir que guérir.